lundi 26 novembre 2007

The Album Leaf


The Album Leaf est un projet solo de Jimmy LaValle, qui a débuté en 1999 et qui se situe dans un genre post-rock agrémenté de touches de musique électronique minimale et ambient, avec une influence certaine de la formation classique de ce pianiste. Comme beaucoup d'artistes du genre post-rock, The Album Leaf utilise des « bruits » divers tels que des « field recordings » ou des sons de transmission radio.

Le nom de The Album Leaf a été emprunté à une œuvre de Frédéric Chopin (Klavierstuck en mi majeur pour piano « Albumblatt »).


En 2001, The Album Leaf tournait en première partie du groupe de post-rock islandais Sigur Rós. C'est ainsi que le troisième album, In a Safe Place, a pu être enregistré dans le studio du groupe, avec l'aide d'un certain nombre de membres (majoritairement à Sundlaughin, la légendaire piscine-studio d'enregistrement de Sigur Rós) dont Amiina, sa section de cordes. Cet album, encensé par la critique, est devenu depuis une référence en matière d'electropop, au détriment du 4e album, Into the blue again (2006), qui selon certains ressemble à une pâle copie de In a Safe Place.


Jimmy LaValle est un artiste prolifique, ce qui se remarque par le nombre de projets auxquels il a participé, comme Swing Kids, Black Heart Procession, The Locust, Tristeza, GoGoGo Airheart ou encore Telefon Tel Aviv.


The Album Leaf est un post-rock spécial, tempéré par la mélancolie parfois funèbre du pianiste classique Jimmy LaValle. Un groupe "underground" qui mériterait d'être côtée en bourse sur le marché des monnaies peu courantes !


The Outer Banks


dimanche 25 novembre 2007

Philip Glass


Phil Glass, né à Baltimore aux États-Unis, est issu d'une famille juive émigrée de Lituanie, À 19 ans il obtient sa licence à l'Université de Chicago avec une double spécialisation en mathématiques et en philosophie. Il entre ensuite à la Juilliard School de New York où il suit les enseignements de Darius Milhaud. Il part étudier à Paris, de 1963 à 1965, avec Nadia Boulanger qui lui enseigne au conservatoire américain de Fontainebleau l'analyse des compositions de Johann Sebastian Bach (Le Clavier bien tempéré), Mozart (les Concertos pour pianos), et Beethoven. Glass découvre également la musique sérielle de Pierre Boulez, mais affirma qu'elle ne lui donnait « aucune excitation ». En revanche, cette époque à Paris sera pour lui la découverte du théâtre de Jean-Louis Barrault à l'Odéon et de la nouvelle vague française au cinéma avec les films de Jean-Luc Godard et François Truffaut.

À Paris, il travaille sur la transcription de musiques de Ravi Shankar qu'il côtoye pour la composition de la musique du film Chappaqua. L'année suivante, en 1966, il découvre l'Inde, et rentre en contact avec les réfugiés tibétains dans le nord du pays. À noter qu'il rencontrera le Dalaï Lama en 1972. Cette période de travail avec Ravi Shankar lui permettra d'acquérir son style distinctif marqué par les processus graduels, et répétitifs.

De retour à New York, il reprendra contact avec ses anciens camarades de la Juilliard School comme Steve Reich qui commence alors ses créations minimalistes dans les galeries et les lieux alternatifs de Chelsea. Il crée dans les années 70 le Philip Glass Ensemble. Au début des années 1980, Glass a produit le groupe de musique new-wave Polyrock.

Il a notamment collaboré avec différents quatuors, dont le Kronos Quartet pour créer une nouvelle bande originale au film Dracula (1931). Il a aussi travaillé avec Bob Wilson sur Einstein on the Beach ou Godfrey Reggio sur la Trilogie des Qatsi.

Il a été nominé aux Oscars et aux Golden Globes dans la catégorie «meilleure musique», respectivement pour les films The Truman Show et The Hours.


Parlons un peu d'un compositeur de genie , Philip Glass , souvent considerer comme etant trés monotone et repetitif , sa musique laisse place à des sensations de melancolie qui ne laissent pas indiferent !

mercredi 14 novembre 2007

65daysofstatic


Hop, petit article ! :)


Entre Aphex Twin, Roni Size et Mogwai, les Anglais de 65 Days Of Static n’ont pas choisi leur camp. Guitares saturées, drum’n bass affolée, electro frénétique, l’expérience sensorielle unique ne laisse personne indemne.
Nés à Sheffield, ils ont recyclé les ruines de l’ancienne gloire industrielle pour en faire un magma sonique flirtant avec le chaos dans des abysses sonores encore plus frappantes. Le quatuor anglais réinvente la bande-son du programme d’essorage 1000 tours/minute de votre lave-linge… on en ressort secoués, lessivés, mâchés… et heureux.


65daysofstatic fait parti des "nouveaux groupes" de post-rock ayant pour influences Mogwai et Explosions In The Sky, une expérience à découvrir...






ICI !





mercredi 7 novembre 2007

Califone


La musique de Califone est une rencontre entre le blues, le folk et la musique électronique. Les chansons ne sont pas sans nous rappeler celles écrites dans les années 70 quand le blues et la country avaient une forte influence pour des groupes comme Fleetwood Mac ou les Stones. Le son de Califone est unique en son genre, le groupe réussi à créer des sons nouveaux notamment grâce aux percussions, à leur façon de jouer de la guitare et d'utiliser les sons électroniques.

Un savant melange de style , qui donne une explosions d'emotions dés la premiere ecoute , le melange Vintage/Modern est parfaitement bien realiser.
Que du bonheur.

Voyez par vous même :